Sous le soleil de Guadeloupe
Se promener, bronzer, se baigner ou farniente
Activités au sein de l’hôtel :
- Massage (en supplément) en solo ou en duo, en chambre ou dans le jardin, avec notre partenaire AQUA’ZEN SPA – www.aqua-zenspa.fr
Activités autour de l’hôtel :
- Plages du Gosier : la Datcha (centre-ville), Pointe de la Verdure
- Ilet du Gosier
- Aquarium du Gosier
- Casino du Gosier
- Marina (restaurants, boutiques, croisières à la journée)
- Mémorial ACTe, MUSART
- La Guadeloupe possède de nombreux chemins balisés appelés « TRACES »
Se déplacer en Guadeloupe :
- Location de voitures avec Jumbo Car, Code Promo: mcreol
- Taxis disponibles à la sortie de l’aéroport et de la gare maritime ou sur réservation.
- Arrêt de bus du réseau KARU’LIS situé devant l’hôtel.
- Ligne de bus Aéroport – Hôtel : LignesAE1 et AE3
- Ligne de bus gare maritime – hôtel : Lignes G14 (toutes les heures) puis à l’arrêt Fréchou/Pavé C9 (toutes les 30 mn). Rotations toutes les 30 minutes de 05H40 à 19H30 du lundi au vendredi, le samedi de 6H30 à 13H30.
8 Jours de visites !
Jour 1
Le matin
- Mémorial ACTe
- Marché aux épices
- Rue Frébault
- Musé Schœlcher
- Place de la Victoire
- Rue piétonne
Le Mémorial ACTe
Cet centre d’expression caribéen est dédié aux victimes de l’esclavage et de la traite négrière. Inauguré par le président François Hollande en mai 2015, le bâtiment de 7 800 m dispose d’une exposition permanente, d’une exposition temporaire, d’un espace de recherches généalogiques pour les familles guadeloupéennes. Le Mémorial ACTe est ouvert du mardi au samedi de 9h à 19h, le dimanche de 9h à 17h. Comptez au minimum 2H30 pour la visite. Entrée 15 €/adulte – Tarif réduit 10 € (- 18 ans, + 65 ans, étudiants, chercheurs d’emploi). Les sacs et téléphones doivent être déposés à la consigne avant l’entrée dans les salles d’exposition.
Vous ne sauriez manquer le marché couvert Saint-Antoine (à l’angle des rues Thiers et Frébault), fort animé. Autrefois place Royale puis place de la Liberté, la place du Marché est la plus ancienne de Pointe-à-Pitre. Appelé autrefois « Marché à la viande », le marché Saint-Antoine accueille au début des années 1960 les bouchers sur des étals bétonnés. Les halles métalliques datent de la fin du XIXe siècle. C’est là que, dans une animation bruyante et colorée, vous sentez battre le cœur de la ville. Fleurs, corbeilles d’épices, paniers artisanaux se mélangent gracieusement pour créer une ambiance exotique.
Les marchands sont efficaces et savent mettre en valeur leurs produits, certains usant même de stratagèmes bon enfant pour vous attendrir : il est assez difficile de concevoir que vous rentriez les mains vides. Le long du port de débarquement, se trouve également un beau marché de fruits et légumes
Les fruits (goyaves, ananas, mangues, bananes jaunes et vertes…) y sont des promesses permanentes de douceur caraïbe.
MUSART (ancien Musée St John Perse):
- Musée St John Perse: Il abrite une exposition permanente sur les costumes créoles et sur la vie de Saint-John Perse.
Il s’agit de l’ancienne villa Souques-Pagès occupée à l’époque par les directeurs de l’usine Darboussier. Inauguré en 1987, à l’occasion du centenaire de la naissance de Saint-John Perse, ce musée célèbre désormais la mémoire du poète et diplomate Alexis Saint-Leger (dit Saint-John Perse) né à Pointe-à-Pitre et qui a reçu le Prix Nobel de littérature en 1960.
Soigneusement entretenue, cette demeure de la fin du XIXe siècle, à structure métallique, a beaucoup de cachet. La bâtisse est classée Monument historique. Le rez-de-chaussée, consacré à la tradition créole, reconstitue un intérieur du siècle dernier et comporte les collections permanentes, synthétisant le parcours biographique du poète, avec une insistance notable sur la période de l’enfance en Guadeloupe. Au premier étage, un espace est réservé aux expositions temporaires dont le programme est à retirer à l’accueil. Les combles accueillent les œuvres des illustrateurs de Saint-John Perse. Une bibliothèque et une vidéothèque complètent le musée pour une meilleure initiation du visiteur à l’œuvre du poète.
- Aquarium de la Guadeloupe
- Fort Fleur d’Epée
- Ilet du Gosier
Le soir, casino ou Marina Bas-du-Fort.
Jour 2
NORD BASSE TERRE
SAINTE ROSE :
Si vous arrivez de bonne heure le matin, vous pourrez voir le retour des pêcheurs sur le port.
Écomusée de Guadeloupe => (Visite guidée à 10h) Ouvert du Mardi au Dimanche de 9h à 16h30. Possibilité de se restaurer sur place – Très bon rapport Qualité/Prix
Un fascinant arboretum offrant une riche collection d’espèces tropicales, dont certaines en voie de disparition, tels les vanilliers, canneliers, muscadiers, poivriers et tant d’autres. Une table d’hôtes sur place permet de conjuguer la visite avec la gastronomie locale préparée par le propriétaire, à partir des produits du jardin bien sûr. Jocelyn se fera également un plaisir de vous expliquer comment ces plantes étaient cultivées par ses ancêtres. Ce site est maintenant un écomusée, conservatoire de plantes médicinales bien structuré avec une partie historique où sont reproduites différentes scènes de la vie quotidienne d’autrefois, mais également une « Allée de la civilisation caribéenne » un parcours historique allant de l’espagnol Christophe Colomb, aux antillo-syrio-libanais en passant par les amérindiens, les colons, les africains, les antillais, les indiens. Jus de fruits frais excellent. Jocelin est un passionné et essayera de vous transmettre son savoir sur les plantes, les fruits et les traditions.
Ouvert tous les jours de 9h à 17h30.
Ce magnifique jardin botanique et animalier a été aménagé dans le cadre d’une propriété de 5 ha ayant appartenu à Coluche. Le circuit complet dure environ 1 heure 30. Vous découvrirez à travers votre promenade toutes les plantes des tropiques : bougainvilliers, hibiscus, balisiers, une profusion d’orchidées, des espèces gigantesques comme les baobabs, les fromagers, les palmiers… Le parc est agrémenté d’un bassin aux flamants roses, d’une volière de loris, d’un étang de nénuphars, d’un village d’aras (perroquets), d’un enclos à cabris et d’une aire de jeux pour les enfants. A l’entrée, la distribution de graines aux carpes japonaises est un véritable spectacle tant leur voracité est impressionnante. A la sortie du parc, le snack Le Manguier propose une restauration rapide et des rafraîchissements tandis que la boutique dispose d’une gamme de produits locaux et de souvenirs.
Vous pourrez vous baigner sur les nombreuses plages, mais attention aux rouleaux. Certaines plages sont interdites à la baignade, respectez bien les panneaux.
POINTE NOIRE – Capitale du bois:
Maison du bois :
Fermeture du 1er au 15 septembre. Ouvert de 9h30 à 17h, sauf le lundi.
Gérée par le parc national de la Guadeloupe. Une maison avec son jardin arboretum conçu sur le thème du bois, reconstruite après les dégâts cycloniques. La visite se déroule sous de très belles charpentes traditionnelles. La maison elle-même est en bois du pays : bois rouge carapate, gommier, marbri, résolu, acajou, mahogany. Le circuit est simple, présentant les différents aspects, la composition et la structure du bois. En parcourant ensuite les pièces de la maison, vous découvrez tous les emplois du bois, des jouets d’enfant, des instruments et des outils jusqu’au mobilier finement travaillé en passant par la barque du pêcheur et la roue du charron. Visite guidée de l’arboretum (An Bwa Savan’n), ateliers d’animation (Arti-bwa, Jwe Bwa), muséographie, exposition de mobilier. Le planning d’animation est renouvelé chaque trimestre. Restauration sur place, Aux Délices d’essences, ouvert uniquement au déjeuner. Addition moyenne 20 à 25 €. Cuisine de terroir (brochettes d’ouassous à la citronnelle, colombo, brochettes de porc au miel) servie sur une terrasse donnant sur le parc. Arts des ïles : Du lundi au vendredi de 9h à 12h30 et de 14h30 à 18h. Betty et Jérémy ont installé leur atelier entre mer et montagne à l’entrée de la plage Caraïbe. Leur œuvre est le fruit d’un long travail de recherche et de collecte de matériaux. Ils arpentent les plages et les sommets de Guadeloupe en quête de nouvelles matières ; c’est en effet avec les sables et les terres du pays qu’ils composent leurs tableaux aux multiples couleurs de la Caraïbe. Sans aucun pigment artificiel, leur palette comporte plus de 500 tons et nuances différents. Chaque plage, chaque roche de l’archipel guadeloupéen a trouvé sa place sur une de leurs créations : des verts aux rouges en passant par le bleu, les ocres, les noirs ou les blancs, toutes les couleurs de la nature sont réunies et exposées dans leur atelier. Sables et roches se marient entre eux produisant alors formes, volumes et contrastes de couleurs : cette réussite artistique est le résultant d’une longue expérience dont seuls Betty et Jérémy détiennent le secret et le savoir-faire. Chaque tableau est un étonnant condensé de l’histoire et du patrimoine géologique de la Guadeloupe : micas, fer, coraux, quartz et autres pouzzolanes et latérites sont autant de matières insoupçonnées qui vont prendre vie sous les doigts de l’artiste. Leurs compositions sont largement inspirées du quotidien des Antilles : hommes et femmes mis en scène dans les champs de canne, à la pêche, au marché mais aussi paysages caractéristiques de la région, faits d’îlots, de mornes, de rivages, de saintoises et tant d’autres scènes typiques découvertes au détour du chemin et qui font le charme de la Guadeloupe. Le style est à la fois moderne et contemporain mais il laisse aussi une place aux œuvres plus abstraites et avant-gardistes. L’originalité de la démarche, la finesse du travail ne peuvent vous laisser indifférent. Art des Iles est devenu une étape incontournable de votre séjour antillais : laissez-vous tenter et rapportez dans vos bagages grâce à l’un de leurs tableaux un petit coin de cette Guadeloupe qui passionne tant nos artistes et qui aura su séduire votre cœur.
Maison du Cacao :
Ouvert tous les jours, toute l’année de 9h à 17h.
En basse saison, il est conseillé de téléphoner avant de se déplacer. La Maison du cacao est située au cœur d’une ancienne région cacaoyère. Vous découvrirez l’origine du chocolat ainsi que la culture du cacaoyer au travers d’une visite botanique enrichie par une exposition sur l’histoire du chocolat et sa fabrication artisanale. Différentes espèces d’arbres y sont plantées parmi lesquelles, le caféier, le roucou, le cacaoyer… Vous apercevrez, au détour d’un chemin la cabosse, le fruit du cacaoyer qui pousse à même le tronc de cet arbre et qui est d’une couleur surprenante. Les différentes étapes de la fabrication sont reproduites (fermentation, séchage torréfaction…). La visite s’achève par un commentaire instructif sur la fabrication de la pâte de cacao et une dégustation de chocolat des îles en pur cacao. Une boutique propose des produits 100 % cacao de fabrication artisanale : des chocolats fins, des punchs, des tablettes de chocolat, du beurre de cacao ainsi que des gâteaux.
RETOUR PAR LA ROUTE DE LA TRAVERSEE
- Rivière Corossol
- Parc des Mamelles
- Cascade des Ecrevisses
- Maison de la Forêt
Comme son nom l’indique, c’est la route transversale de Basse-Terre, qui explore une partie du parc national par le nord et dessert certains de ses plus beaux sites, en particulier la cascade aux Ecrevisses ou le Parc zoologique Sur un long ruban d’est en ouest de Basse-Terre, généreuse et contrastée, la route de la Traversée se visite en flânant. Aménagée depuis à peine 20 ans, cette véritable perle de la nature nous est offerte et donne l’occasion de multiplier mille promenades. Les circuits pédestres sont variés, les balises très sûres et faciles à repérer. Arrêt à La Maison de la Forêt : Entrée libre tous les jours de 9h à 13h15 et de 14h à 16h30. La Maison est fermée le mardi. Ce centre est le fruit de plusieurs années d’efforts consentis par le parc national. Ses administrateurs ont voulu en faire un jardin de lecture consacré aux espèces végétales, à la fois rares et représentatives. La maison a plusieurs objectifs et des axes prioritaires : une véritable exposition pédagogique de la forêt tropicale, sa formation et sa composition, sans accabler le visiteur de termes trop savants. Pour appuyer cet apprentissage, la maison de la Forêt est le point de départ de trois sentiers botaniques dont le parcours dure respectivement 15 minutes, 30 minutes et 1 heure. Vous remarquerez que de nombreux arbres adoptent des perspectives rigides, comme si l’esprit de géométrie s’accordait pour lutter contre les manigances du soleil. La borne 1 vous laisse admirer, de la passerelle, des arbres aux branches chargées de plantes et la rivière encombrée de roches volcaniques polies par les eaux. La borne 2 dévoile un sol parcouru de racines, des rangées de plantules et d’herbes fragiles. Plus haut, en levant la tête, vous reconnaîtrez des arbustes, des balisiers et des fougères arborescentes atteignant 15 m de hauteur. Les arbres s’élèvent, eux, jusqu’à 20 m et plus. Observez les épiphytes, ces plantes qui, comme le lierre, vivent accrochées aux branches ou aux troncs d’autres végétaux, mais sans se nourrir à leurs dépens et sans en être des parasites. Aux bornes 3, 4 et 5, vous entendrez le concert éternel des grillons et grenouilles. Les lianes à eau sont accrochées aux branches les plus élevées des arbres. Si vous êtes discret, vous pourrez peut-être apercevoir le coucou manioc, la paruline caféiette, ou la grive trembleuse qui agite ses ailes comme si elle avait froid.
La rivière Bras-David abrite quantité de petites écrevisses, les ouassous. N’hésitez pas à vous y baigner par beau temps. Et à La Cascade aux écrevisses : Attention aux nombreux piétons que vous rencontrerez aux abords du site car la route est étroite. Ce site, parmi les plus visités de Guadeloupe, est désormais accessible aux personnes à mobilité réduite : le parcours, long de 210 mètres, a été entièrement pavé, la pente a été réduite, un point de vue permet d’admirer la cascade. Cette chute d’eau est peu élevée mais elle bénéficie d’un débit très important et au fur et à mesure de votre approche, vous entendrez son grondement. Vous l’atteignez en un quart d’heure de marche à partir de l’entrée du sentier, sous l’ombre bienveillante des arbres. La rivière Corossol, encombrée de rochers indociles, vous accompagne jusqu’à cette cascade, haute d’une dizaine de mètres, qui tombe dans un vacarme étourdissant. Attendez vous à une baignade tonifiante grâce à la fraîcheur de l’eau. Par contre, évitez les plongeons du haut de la cascade car le fond du bassin est composé de grosses roches. Des carbets permettent de profiter du site tout au long de la journée. A la sortie de la route de La Traversée prendre à droite, direction Pointe Noire.
Jour 3
MORNE A L’EAU :
- Vieux-Bourg, port de pêche
- Plage de Babin
- Cimetière en noir et blanc
- Parc paysager (découverte de la fLore, plantes médicinales).
- Marches des Esclaves
PORT LOUIS :
- Plage du Souffleur
- Visite du Pays de la Canne Beauport:
Ouvert du mardi au dimanche de 9h à 17h.
En 1813, la sucrerie, qui comprend aussi l’habitation, est rachetée par Guillaume Rullier-Beauport qui lui donne son nom. Beauport s’étend alors sur 96 ha et compte 70 esclaves. La plupart des grands propriétaires font faillite, victimes de la Révolution française et de l’effondrement du système esclavagiste. Le Dr Armand Souques en devient propriétaire en 1836. Vers 1840, la Guadeloupe compte 620 habitations-sucreries dont 26 constituent l’actuel Beauport. La famille Souques domine l’activité sucrière en Guadeloupe pendant près d’un siècle mais, croulant sous les dettes, elle vendra le domaine en 1901. Le domaine comptera plusieurs propriétaires jusqu’en 1990, date à laquelle il ferme définitivement ses portes. C’est ainsi que le conseil général et la Semag sont à l’initiative de la rénovation de Beauport. Le domaine a été aménagé pour redonner vie à une partie de la culture guadeloupéenne depuis 2004. Une escapade passionnante pour ceux qui s’intéressent à la canne à sucre. Une balade de 50 minutes aller-retour à travers le domaine dans le train Flèch Kan ayant servi à acheminer la canne, un espace Visiokann où l’on découvre la mémoire de l’usine avec la maquette du site industriel, des photos, des documents, un petit lexique du sucre qui détaille toutes les étapes de la fabrication du sucre et deux films. Boutique et restaurant sur place.
ANSE BERTRAND :
- Plage de la Chapelle
- Pointe de la Grande-Vigie. Point de vue magnifique.
- Porte-d’Enfer – Trou à Man Coco. Nombreux vestiges de moulins sur la route témoignant de l’ère sucrière.
LE MOULE :
- Boulevard maritime
- Musée Edgar Clerc (ère pré-colombienne)
- Activités nautiques (surf, natation en mer, stand-up paddle)
Commune en plein développement. Beaucoup de commerces, belle promenade sur le front de mer. La mer a de nombreux rouleaux qui font la joie des surfeurs. Visitez la Distillerie DAMOISEAU.
Jour 4 : « Iles, dépendances » day
PETITE TERRE
Une journée sur un voilier à Petite Terre « Réserve Naturelle »
Archipel de 2 îles désertes (Terre de Haut et Terre de Bas) situé à 20 Km au Sud Est de Saint-François, il est géré par l’ONF et dépend de la Désirade. Petite Terre appartenait à une famille de notaires célèbres expropriée pour cause d’utilité publique. Réputée pour la richesse de ces fonds marins, elle a pour seuls habitants des iguanes, des crabes et des oiseaux. Elle a été déclarée réserve naturelle depuis 1994. La chasse et la pêche sont interdites et le phare du bout du monde est aujourd’hui un musée de la faune et la flore. Seuls 4 gardes de l’ONF résident à tour de rôle sur l’île.
- Départ de ST FRANCOIS avec Uhaina à 7h15
Repas du midi : Barbecue sur la plage. Masque et tuba fournis pour la baignade - Privilèges Croisières à 7h15
Repas du midi à bord du bateau Masques et tubas fournis pour la baignade. - OU – Désirade – Au départ de St-François
- OU – Marie-Galante au départ de Pointe-À-Pitre (Jour 7)
- OU – Les Saintes au départ de Trois-Rivières (Jour 8)
Jour 5 : Le Sud Basse Terre
PETIT BOURG :
Visite du Domine de Valombreuse :
Il s’agit d’un parc au cœur de la forêt tropicale.
Installé depuis 23 ans maintenant, cet aquarium est reconnu comme le plus grand aquarium des Antilles et le 4e de France. Il permet de découvrir la richesse de la faune marine de la Caraïbe par le biais de 35 bassins de plus de 450 000 litres d’eau de mer au total où sont présentés les différents biotopes de la Guadeloupe. Une façon ludique d’avoir accès aux profondeurs de nos fonds sous-marins et d’en comprendre le fragile équilibre. La barrière de corail y tient bien évidemment une place privilégiée, mais la mangrove, les fonds sableux et les abysses y sont également présentés avec les poissons, invertébrés et plantes qui les peuplent. Des points vidéo et des panneaux pédagogiques accompagnent la visite. Le bassin à requins de 250 000 litres des requins gris, deux requins vaches et une raie pastenaque. Une visite qui allie détente et pédagogie, et les enfants sont les bienvenus. Chaque enfant reçoit lors de sa visite un livret-jeux en cadeau. L’aquarium, en plus des exhibitions de requins, piranhas, méduses, tortues et corail luminescent, dispose d’une exposition sur les tortues marines. Il propose des audioguides qui permettent, en plus d’un fonctionnement normal, de se connecter aux appareils auditifs des malentendants. L’aquarium abrite également le centre de soins des tortues marines de Guadeloupe qui œuvre pour la préservation de l’espèce. L’Association KARET est un centre de soins de tortues marines qui soigne et relâche les tortues blessées, héberge les tortues saisies par les administrations et veille à l’application des textes. Etroitement lié à l’association KARET, l’Aquarium de la Guadeloupe joue un rôle majeur dans ce programme de protection, lancé en 1999 sur l’ensemble de l’archipel de la Guadeloupe, puisqu’il finance avec la DIREN (direction régionale de l’Environnement) ce centre de soins et rend accessible à tous, par des panneaux pédagogiques, l’écologie des tortues marines www.tortuesmarinesguadeloupe.org – www.guadeloupe.ecologie.gouv.fr Véritable outil pédagogique, l’aquarium propose diverses activités accessibles aux familles notamment l’écotour : une demi- journée de promenade sous-marine dans le Grand Cul de Sac est proposée à la rencontre des animaux sous-marins du lagon. Ces excursions ouvertes même aux non nageurs sont encadrées par des moniteurs diplômés et formés à la biologie marine ; les stages de découverte écologique : chaque stage comporte une approche théorique en salle de travaux pratiques, une visite thématique de l’Aquarium et une sortie découverte en mer ; la dernière animation proposée, et non des moindres, vous permet de dormir avec les requins : le soir venu, vous assisterez au ballet incessant des squales jusqu’à ce que vos yeux se ferment, apaisés par la beauté et le silence des fonds marins. Au réveil, les requins seront nourris devant vos yeux, avant de pouvoir savourer votre petit déjeuner au milieu des poissons tropicaux.
CAPESTERRE BELLE EAU :
La Plantation Grand Café : Tout sur la banane
Après Goyave, en venant de Pointe-à-Pitre, vous devez prendre la section Bélair après Sainte-Marie. L’entrée de la plantation est en face de la sortie de la plage de Roseau, la même entrée que la distillerie Longueteau. Ouvert du lundi au vendredi de 9h à 16h. Fermé en septembre et tous les jours fériés. Départs le matin et l’après-midi selon le nombre de demande.
Dans les années 1940, c’était une plantation de café, on y cultivait également le cacao et la vanille. Le coût de revient du café ayant chuté, la plantation s’est transformée en bananeraie tout en conservant son nom historique. La culture de la banane a paru assez importante à Gérard Babin, le propriétaire, pour se lancer dans une aventure harassante mais gratifiante. L’habitation est vieille d’un siècle et le domaine s’étend sur une trentaine d’hectares. A l’entrée, les tracteurs déversent leur chargement de bananes qui vont être découpées, lavées et emballées. Quelques mètres plus loin, on découvre une petite maison de style colonial, perdue dans la bananeraie (c’est celle du propriétaire). A une centaine de mètres de la demeure, 31 variétés de bananiers dressent un catalogue éloquent : la musa basjoo, le fehi banana, le pisang roto uter d’Indonésie, le hands planty, mais aussi les espèces habituellement cultivées en Guadeloupe, poto, poyo, thé. Vous pouvez partir pour une balade en chariot tiré par un tracteur à travers la plantation jusqu’à une piste d’aviation. Toujours en chariot, vous parviendrez à la dernière étape, celle de l’atelier de découpage et de conditionnement en cartons. Lorsque vous serez devant les étalages métropolitains, vous vous souviendrez de cet endroit idyllique et imaginerez le trajet à l’envers, jusqu’à la banane sur son arbre.
Une exposition retrace l’histoire de la banane dans une superbe maison de planteur qui a été entièrement restaurée. Au fil de la visite, vous accédez à des pièces meublées et décorées d’objets d’époque. La plantation dispose d’un parcours aménagé pour les balades. La vue sur les îles environnantes est là encore éblouissante. En fin de parcours, visitez le jardin de plantes médicinales ou le jardin tropical où sont regroupées de nombreuses espèces exotiques. Nancy, la maîtresse des lieux, confectionne des coiffes en feuille de banane, des poupées, des bracelets… Le cimetière des esclaves Entre l’allée Dumanoir et la route d’accès aux Chutes du Carbet. A proximité de l’habitation Bois-Debout, en suivant un petit sentier, vous arrivez devant une dalle gravée de l’inscription Honneur et respect car plusieurs tombes sans nom, délimitées par des lambis, sont ici regroupées avec la particularité d’avoir « la tête orientée vers l’Afrique ». Ce lieu de mémoire aurait été mis en lumière, dans les années 1970, par Edgar Clerc, passionné d’archéologie décédé en 1982. Gérard Lauriette, maire de Capesterre-belle-eau de 1983 à 1989, a pris le relais en mettant en place une signalisation du lieu. L’allée Dumanoir.
Cette route est bordée de quelque 400 magnifiques palmiers royaux centenaires. Elle correspond à l’entrée de Capesterre-Belle-Eau lorsque vous arrivez de Basse-Terre (en sortant de la rocade). En 1850, la famille Pinel-Dumanoir avait planté plus de 300 palmiers afin de délimiter la propriété. Le temple Indou de Chanzy.
Au nord du village sur la droite. Ce temple ne se visite pas. C’est le plus beau et le plus grand de la Guadeloupe. Il témoigne de la forte présence des Indiens en Guadeloupe. Les statuettes de divinités composent une décoration extérieure à ne pas manquer.
Les chutes du Carbet :
Aujourd’hui, choisissez de parcourir la route à pied pour savourer le charme du site. Ces trois chutes offrent, dans la diversité des lumières et de la végétation, un magnifique spectacle. Elles figurent parmi les cascades les plus impressionnantes des Petites Antilles. La rivière du Grand-Carbet, doit sans doute son nom au village amérindien, composé de carbets qui étaient installés non loin de son embouchure. La rivière prend sa source sur le flanc oriental de la Soufrière. Ses eaux sulfureuses s’éclaircissent après les trois chutes pour aller se jeter dans la mer, côté atlantique, 11 km plus bas. On dirait que la nature a voulu placer ici une végétation véritablement lyrique face à la puissance aquatique. On reste émerveillé devant les efforts de l’Office national des forêts. (www.guadeloupe-parcnational.com). L’accès aux chutes du Carbet est désormais payant. Stationnement : gratuit. Pour toute information : ✆ 06 90 59 66 36 — 05 90 80 86 00. Les sommes ainsi encaissées permettent le maintien de ce patrimoine naturel. Une équipe assure désormais l’accueil et l’information sur place. La première chute est la plus éloignée. Cette chute effectuée en deux paliers est la plus haute à 125 m (comptez 3 heures aller-retour). Certains passages sont délicats notamment la Traversée de la Ravine Longueteau qui est dangereuse par temps de pluie (crues soudaines et violentes). La deuxième chute est toujours fermée. L’accès au pied de la chute interdite au public en raison des risques d’éboulement. L’itinéraire s’arrête au pont suspendu d’où vous pouvez voir la chute. La baignade est interdite. La troisième chute est la plus fameuse. Sans aucun doute, grâce à son débit impressionnant au regard de son altitude modérée (20 m), comptez 45 minutes pour y accéder, et 1 heure 30 aller-retour).Vous l’atteignez par la route des Routhiers (niveau 1). Par contre si vous la prenez par la deuxième chute, le niveau se corse, et il faut être dans ce cas un marcheur bien entraîné ! Ne tentez pas l’impossible si vous n’êtes pas en excellente forme physique ou si vous êtes accompagné d’enfants et soyez toujours prudent par temps de pluie.
Cassaverie ou Manioquerie :
Dans cette charmante cassaverie, la farine de manioc est réalisée comme au temps des indiens caraïbes. Les galettes de manioc, les cassaves sont chauffées sur une grande platine en fonte.
ST SAUVEUR :
La savonnerie Les Jardins de Saint-Sauveur est la seule de Guadeloupe qui a mis au point une gamme complète de produits naturels. Vous y trouverez des gels douche, des shampooings, des huiles naturelles, des savons, des gels d’aloès, le beurre de karité et le beurre de cacao. Leur laboratoire utilise les procédés d’extraction à froid par simple pression pour obtenir ces huiles vierges de qualité supérieure. Toutes les huiles de la gamme sont reconnues pour leurs bienfaits et leurs performances sur tous les types de peaux et de cheveux.
Jour 6
STE ANNE : Le Marché tous les jours le long de la plage
- Village artisanal
- Plage de la Caravelle
- Plage du bourg
- Boulevard maritime
ST FRANCOIS : La Pointe des Châteaux : La côte est battue par l’Océan.
Montez au calvaire le Point de vue est magnifique
Jour 7
MARIE-GALANTE
Caractère authentique, Tradition et authenticité.
Au départ de Pointe-À-Pitre:
- Gueule Grand Gouffre
- Ecomusée – Habitation Murat
- Distillerie Père Labat
- Terre des moulins
- Sirop batterie